• Halloween

    L’histoire de Halloween et la Bible

    La fête de Halloween, qui correspond à la veille de la Toussaint, a gagné une grande popularité ces dernières décennies. D’une certaine manière, elle a le mérite de booster l’économie.
    Certains Français voient d’un mauvais œil cette fête d’outre-Atlantique, qui ne devrait pas avoir de place dans la culture française d’après eux, mais nous n’aborderons pas ce sujet ici. Halloween est d’une part un jour (ou plutôt une nuit) où les crimes redoublent (en particulier les incendies criminels, allez savoir pourquoi), d’autre part un jour-clé pour les satanistes, où l’activité occulte atteint un summum.
    Comment et pourquoi cette fête a-t-elle vu le jour ? Comment les chrétiens doivent-ils la considérer en général ? Pour répondre, nous devons revenir aux sources.

    Quand est-ce que Halloween sous sa forme moderne a débuté ?

    Au début du XXe siècle, les immigrés irlandais et écossais ont apporté leur tradition de Halloween aux États-Unis. Par la suite, la mondialisation aidant, elle a fait son chemin dans la culture moderne.

    La fête, cependant, a des racines qui plongent beaucoup plus loin dans les sables du temps. Certains chercheurs affirment que la fête peut être retracée à environ 2 000 ans en arrière, aux Celtes d’Europe, descendants de Gomer, fils de Japhet, qui ont occupé certaines parties de l’Irlande, du Royaume-Uni, et du nord de la Gaule.1 Il s’agissait d’une fête païenne appelée « Samhain » en l’honneur des morts, qui faisait intervenir de grandes offrandes de produits de la récolte et d’animaux.

    Même si aucun récit écrit original de ce festival des anciens Celtes ne subsiste, des documents romains datant de l’époque où ils conquirent les terres celtiques, soit vers 43, en parlent. Sous la domination romaine, le jour de Samhain subit l’influence des fêtes romaines de l’époque. La 1ère était « Pomone », une sorte de fête des moissons, et l’autre « Feralia » le jour des morts de la religion romaine. Fait intéressant, Feralia et Samhain étaient tous les 2 des festivals de la mort, célébrés à la fin d’octobre.

    L’origine du nom

    Vers l’an 600, le pape Boniface IV a créé la Toussaint, et le pape Grégoire III a ensuite transféré cette fête au 1er novembre pour créer une alternative chrétienne à ce jour de réjouissances païennes.

    Ainsi, les chrétiens qui ne voulaient pas célébrer une fête païenne pouvaient le faire en l’honneur des saints et des martyrs, une chose positive sur le plan spirituel. Avec l’expansion écrasante du christianisme en Europe, la Toussaint grandit en importance.
    Faisons remarquer au passage que dans l’Église catholique romaine n’a adopté l’acception moderne du mot « saint » qu’en 1588, sous Sixte V, lorsque les catholiques ont institué en une procédure en trois étapes pour la canonisation : vénérable, bienheureux, puis « Saint ». Il n’y a aucune raison connue de supposer qu’avant cela, le mot « saint » avait un sens différent de celui que lui accorde la Bible, à savoir que tout chrétien né de nouveau est un saint. Même Luther a utilisé ce mot de façon correcte dans ses 95 thèses et n’a formulé aucune doléance envers son usage (alors qu’il n’en aurait sûrement pas raté l’occasion le cas échéant). Le mot n’a été redéfini, et son usage corrompu, qu’après lui.

    Le nom actuel de « Halloween » provient de la veille de la Toussaint, appelée « All Hallow Evening » en pays anglo-saxon à l’époque ; ce nom a été raccourci en « All Hallow Eve », voire en « All Hallow ». Au fil du temps, le nom est devenu « Halloween ».

    Quelques siècles plus tard, l’Église catholique romaine a fait du 2 novembre le Jour des Morts pour honorer ceux-ci. Cela aurait du mal à être étranger à la persistance du jour des morts chez les anciens Irlandais, Écossais, et autres Européens. Pour contrer cela, beaucoup de chrétiens protestants célèbrent le 31 octobre en tant que Fête de la Réforme, en l’honneur de Martin Luther, de Jean Calvin et des autres Réformateurs. En effet, Luther a cloué un 31 Octobre ses 95 thèses à la porte de l’église de Wittemberg, initiant ce mouvement de retour vers la saine doctrine.

    Le jour des morts dans d’autres cultures

    Jusqu’ici, je n’ai rien dit que vous ne puissiez trouver sur Wikipedia, mais il faut savoir que bien que beaucoup affirment que Samhain se trouve à l’origine du Halloween moderne, beaucoup de cultures du monde célèbrent un « jour des morts » (souvent avec des sacrifices) à la fin de l’été ou au début de l’automne. Il y a trop de parallèles et de similitudes pour y voir une coïncidence.

    Par exemple, dans les Amériques, il y a El Día de los Muertos, célèbre en particulier sous sa forme mexicaine. Il remonte à l’ancienne fête des morts célébrée des Aztèques et les Olmèques (plus anciens que ceux-ci), entre le 9e et le 10e mois du calendrier solaire mexicain, correspondant aux mois de juillet et d’août. La déesse Mictecacihuatl, la Dame de la Mort, épouse du seigneur de la terre des morts, Mictlantecuhtli, y présidait. Les Guatémaltèques ont sans doute obtenu leur jour des morts à eux de là.

    Les Brésiliens célèbrent également le Día de los Finados (jour des morts), de date variable mais toujours fêté en novembre. La Bolivie fête la Journée des Crânes (Día de los Ñatitas).

    En Asie, il existe des festivals similaires. Par exemple, les Chinois célébraient la fête des fantômes, hommage aux ancêtres morts. Les Japonais avaient une fête similaire, appelée « O-bon », ou plus simplement « Bon ». Même le Vietnam possède une variante du festival des fantômes nommée « Tet Trung Nguyen ». En Corée, « Chuseok », ou « Hankawi », commémore les ancêtres décédés. Au Népal, « Gia Jatra », le pèlerinage de la vache, honore les défunts récents. Aux Philippines, lors de l’« Araw ng mga Patay », les tombes sont nettoyées et repeintes. La liste est longue.
    En fait, je suis même au courant d’un certain coin de Madagascar où l’on fête pendant quelques jours d’octobre les ancêtres décédés (il ne s’agit pas d’un « famadihana »). Les célébrants pleurent les ancêtres à un certain jour de la fête, ils accomplissent des réjouissances et des sacrifices à un autre.

    Yom Kippour, le jour juif du Grand Pardon, a lieu en automne, le 10e jour du mois de Tishri du calendrier juif, qui tombe en septembre ou octobre. Cette date se balade sur le calendrier grégorien car le calendrier juif a une année de 360 jours, avec un mois bissextile toutes les quelques années pour le ramener à environ 365 jours par an.
    Mais le but de Yom Kippour consiste, plutôt qu’en la commémoration des morts, en la recherche spirituelle, la repentance. Ce jour représente un moment de grands sacrifices pour les péchés du peuple (Lév. 23:27-28). Il y a donc chassé-croisé, mais Dieu a bel et bien institué cette date.


    L’archevêque Jacques Ussher (4/1/1581–21/3/1656), historien du XVIIe siècle a compilé les annales de l’Ancien et du Nouveau Testaments, une histoire couvrant chaque événement majeur de la Création à l’an 70.

    Bien que nous puissions attribuer l’origine de cette date à Moïse, Dieu pourrait bien avoir choisi la journée elle-même par rapport à des événements précédents, comme l’archevêque Jacques Ussher, le célèbre chroniqueur biblique, l’a souligné (le jour approximatif où Adam et Ève ont péché, et où Dieu a recouvert leur nudité avec des peaux d’animaux, selon les calculs d’Ussher).1

    Quelle est l’origine ultime de Halloween ?

    Quel hasard peut-il y avoir si toutes les cultures du monde, au cours de l’histoire, ont eu un jour férié où le souvenir des morts est rappelé et des animaux sacrifiés ? Nous pouvons établir un argument probant que cette fête remonte à une époque où tous les peuples vivaient ensemble, et qu’ils ont emporté dans leurs bagages culturels cette fête un peu partout dans le monde.

    Autrement, comment des cultures si diverses ont elle-bien pu développer des célébrations si semblables ? Nous pouvons pousser la véritable origine de Halloween et des autres « jours des morts » à l’époque d’avant la dispersion à Babel (Gen. 11:1-9), il y a plus de 42 siècles, après quoi les différentes cultures primitives en modifièrent la pratique.

    Selon Ussher, le laps de temps entre ces événements fait à peu près 106 ans, le Déluge ayant pris fin en 2348 av. J.-C. et la dispersion commencé en 2242 av. J.-C. environ. Noé et ses fils vivaient encore pendant ce temps. Nous avons peu d’informations dans la Genèse sur les épouses de Noé et ses fils, mais les brus de Noé n’ont pas perdu leur temps, faisant 16 petits-fils à leur beau-père. Puis leurs enfants firent des enfants, et ainsi de suite.

    Voyons quelques-unes des explications proposées sur la similitude des jours des morts de par le globe :

      • Ces jours honoraient-ils un ancêtre ou un groupe d’ancêtres ? Peut-être commémorent-ils chacun la mort d’un grand patriarche ou d’une grande matriarche d’un clan babélien donné. Toutefois, les chances que la plupart des grands ancêtres des familles de Babel soient retournés à la poussière à la fin de l’été ou au début de l’automne brillent par leur nature infime.
      • S’agissait-il d’un festival de la moisson des céréales et des animaux, qui avaient été préparés pour l’hiver, impliquant ainsi la mort ? Puis, plus tard, ce festival aurait-il changé pour devenir un hommage aux morts, plus spirituel ? Cela pourrait expliquer les sacrifice d’animaux et pourquoi la fête a lieu en automne, mais pas pourquoi chaque culture aurait transformé la fête ainsi. En outre, cela n’a pas de sens pour les cultures de l’hémisphère sud, où septembre et octobre coïncide avec le printemps, pas le moment de la récolte.
      • La femme de Noé a-t-elle quitté notre monde peu après le Déluge, et ce jour aurait vu le jour en son honneur ? La femme de Noé constitue la grande absente de la période où Cham a engendré Canaan, puis péché contre Noé (avant Babel) ; ce fut à Japhet et Sem que revint la tâche de couvrir la nudité de leur père après qu’il se fût enivré (compréhensible s’il était veuf) et déshabillé dans sa tente (Gen. 9:20-27). On pourrait penser que cette responsabilité revenait à Mme Noé, mais le texte ne la mentionne nulle part. Si elle s’était éteinte assez tôt avant Babel, chaque culture aurait commémorée la mort de la grande matriarche après la dispersion à Babel. Mais il n’y a aucune mention ni référence à une femme célèbre (mais plutôt à une multitude d’ancêtres) dans les généalogies de la Genèse.
        La mort de Noé elle-même n’explique sans doute pas les jours des morts puisqu’il a vécu quelque 250 ans après l’événement à Babel, s’il faut en croire les calculs d’Ussher. La nouvelle de la mort de Noé a pu se propager à travers le monde, mais cela semble peu probable tant d’années après la dispersion de Babel…
      • Satan, celui qui ne vient que pour voler, égorger et détruire (Jn. 10:10), a-t-il poussé les cultures païennes post-Babel à développer ces jours des morts ? C’est loin d’être impossible, mais il faudrait dans la pratique que Satan et ses anges aient une puissance confinant à l’omniprésence et l’omnipotence, attributs non-communicables de Dieu, pour ce faire. Et bien que Satan voudrait nous faire croire qu’il a les attributs de Dieu, il n’en est rien.
      • S’agissait-il d’un jour de souvenance des victimes du Déluge et une continuation des sacrifices que Noé a faits après l’atterrissement de l’arche ? Comme les jours des morts rappellent le souvenir des défunts et comportent des sacrifices, ils pourraient commémorer le grand sacrifice de Noé et Cie après le Déluge. Cela expliquerait aussi pourquoi beaucoup d’autres cultures ont une variante de ce sacrifice régulier. Lorsque Noé et sa famille quittèrent l’arche, ils offrirent des sacrifices à Dieu (Gen. 8:18-9:1). Bien entendu, les dévoiements dans l’exécution et le sens de ce sacrifice ont dû varier au cours des âges. Si nous nous basons sur les indices à disposition, cela semble l’explication la plus probable.


    Rev. Alfred M. Rehwinkel (25/6/1887–15/10/1979)

    D’autres chrétiens ont reconnu ce lien. Par exemple, Alfred Rehwinkel, qui enseignait la théologie au Séminaire Concordia, avait réalisé que les nations du monde entier ont des jours des morts similaires, et il a  fait le lien avec le Déluge.2 John Urquhart l’a souligné dès 1931, peu de temps après le gain d’importance de la fête de Halloween aux États-Unis.3

    Il est fort probable que les différents jours des morts de par le monde constituent une réminiscence du sacrifice de Noé, ce moment spécialement dédié à la couverture des péchés où ils se sont rappelés de la raison pour laquelle la mort régnait dans ce monde maudit. En cet instant spirituel, lui et sa famille se remémoraient qu’une catastrophe soudaine, le Déluge, avait emporté presque toute la population humaine à cause du péché. Noé y avait même perdu des frères et sœurs (Gen. 5:30), sa douleur avait dû lui broyer le cœur. Les racines de Halloween pourraient s’étendre à ce moment crucial de l’histoire de l’humanité, mais ne soyons dogmatique sur ce que la parole de Dieu ne déclare pas.

    Pourquoi des sacrifices ?

    Les sacrifices convenables mentionnés dans la Bible ont été associés avec le péché et la mort depuis le début. Cela remonte au 1er d’entre eux, en Gen. 3:21, après que les 2 1ers humains (Adam et Ève) eurent commis un crime de lèse-Majesté contre Dieu. Ce crime avait corrompu la création parfaite de Dieu et méritait la mort (Gen. 1:31 ; De. 32:4 ; Rom. 5:12).

    En effet, la Bible déclare que le salaire du péché, c’est la mort (Rom. 6:23; Héb. 9:22). Voilà pourquoi nous mourons tous (retour à la poussière) : nous péchons tous (Gen. 3:19 ; Rom. 3:23). En raison de leur péché, Adam et Ève ont pris honte de leur nudité. Dieu a donc fait des manteaux en peau de bête pour la couvrir. Il a sacrifié un animal pour couvrir ce péché.

    D’une manière similaire, Abel fit offrande de ses bêtes (Gen. 4:4), et Noé idem après le Déluge. Plus tard, les Israélites firent pareil, avec des sacrifices expiatoires d’agneaux, de colombes, etc., comme Dieu l’avait ordonné. Mais le sang des animaux n’enlève pas le péché ; il suffit à peine à le couvrir temporairement (Héb. 10:4), tout comme la peau de l’animal tué par Dieu en Eden devait finir par s’user et se dégrader. Des animaux finis ne peuvent en aucun cas encaisser le châtiment infini d’un Dieu infiniment saint. Ces instances de sacrifices d’animaux préfiguraient Jésus Christ, l’Agneau de Dieu Qui, en tant que sacrifice infini et parfait sur la croix du Calvaire (Héb. 9:26, 10:12) y a épuré la dette de nos péchés, afin que tous ceux qui croient en Lui reçoivent le salut et la vie éternelle (Jn. 3:16-18).

    La plupart des jours des morts font intervenir des sacrifices. Cela suggère que les différentes cultures du monde ont compris ce concept de sacrifier à Dieu pour couvrir les péchés – les empereurs chinois sacrifiaient à Shang-Di (Dieu) longtemps avant l’arrivée des 1ers missionnaires jésuites. Rien de surprenant pour un chrétien biblique, puisque toutes les ethnies descendent des clans de Babel. Lorsque les humains ont migré vers les différentes parties du monde après que Dieu eût confondu leur langage, ils ont donc embarqué ce concept dans leurs bagages. Bien sûr, leurs méthodes et conceptions du sacrifice ont varié au fil des ans, si bien que la véritable intention a été perdue.

    Les chrétiens peuvent se servir de cela pour prêcher l’Évangile de Jésus-Christ, par la démonstration du vrai sens des sacrifices : Jésus représente le sacrifice parfait et ultime pour notre péché, les sacrifices d’animaux ont donc perdu leur nécessité. Le Fils de Dieu a conquis le péché et la mort (dont les sacrifices constituaient un rappel continuel depuis Adam), et le don gratuit du salut est désormais offert. Si les jours des morts tiennent leurs racines dans le sacrifice de Noé, alors considérez ceci : le Seigneur a donné l’ordre aux chrétiens de commémorer le sacrifice des sacrifices par la Cène. L’Apôtre Paul le relate ainsi : « et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci est Mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de Moi. De même, après avoir soupé, Il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en Mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. » (1 Cor. 11:24-25)

    Les calamités de Halloween, qu’est-ce qu’un chrétien peut faire ?

    Dans une perspective chrétienne, nous pouvons constater de claire manière la nature mauvaise de nombreuses pratiques modernes de Halloween et des jours des morts (cf. 1 Cor. 10:20, par ex.). Un paganisme considérable s’est associé à Halloween au fil des ans. Des actes comme le vandalisme, l’incendie criminel et les farces destructrices, ainsi que la glorification de la mort et des démons beurk s’opposent sans contredit aux fruits de l’Esprit (Gal. 5:19-23). Un mot de prudence s’impose donc envers les chrétiens qui promeuvent certaines pratiques douteuses de Halloween.

    Nous devrions offrir une alternative en opposition à cette fête. Ps. 24:1 nous apprend que tout appartient au Seigneur. Du coup, pourquoi laisser Halloween à Satan ? C’est pas son jour, à la base mad !

    Lorsque Satan a tenté Jésus, il Lui a offert une chose qu’il n’avait pas à offrir (Mat. 4:8-9, tous les royaumes du monde). Jésus a bien sûr triomphé parce que ce n’était pas à l’Adversaire de les donner, et qu’il n’exerçait aucune autorité sur Lui. Beaucoup de gens aujourd’hui voient en Halloween le jour de Satan et recommandent de ne rien avoir à faire avec. Mais c’est méconnaître que Satan ne possède rien en propre et que tous les jours appartiennent à Dieu. Les chrétiens peuvent profiter de cette journée et en faire un meilleur usage, comme par la célébration de la Réforme, une fête de la moisson en éloge à un Dieu qui pourvoit, une journée supplémentaire de Cène pour commémorer le sacrifice du Christ ayant mis fin aux sacrifices d’animaux, et ainsi de suite (Col. 2:16-17) cool.

    Alors, comment allez-vous réagir ^^ ? N’hésitez pas à donner la réponse en commentaire si le cœur vous en dit. En tout cas, s’il vous plaît, encouragez vos pasteurs, prêtres anciens et autres responsables d’église à contrer les pratiques modernes de Halloween. Bien sûr, vous pouvez faire intervenir l’une des seules belles choses qu’il ait vraiment à offrir : les bonbons (avec modération, bien sûr winktongue) !

    Si une alternative chrétienne est humainement impossible où vous êtes, profitez de l’occasion pour partager avec les gens le message de l’Évangile, la manière dont Jésus-Christ a vaincu la mort et le pardon qui ne peut être trouvé qu’en Dieu, lorsque vous saluez des « trick-or-treaters ».

    La mort, châtiment du péché, réalité terrible pour tous, ne devait pas constituer une occasion de fête ni de plaisir. Depuis son entrée dans le monde, nous souffrons tous d’une nature pécheresse (Rom. 3:23), nous devons réaliser qu’elle nous attend au bout. Mais Dieu est un Dieu de grâce et de miséricorde, et dans Son amour, Il nous a offert un moyen de salut à travers son Fils unique, Jésus Christ, qui a souffert et subi la mort ultime à notre place. Tous ceux qui se repentent et Lui prêtent allégeance peuvent recevoir le pardon des péchés et la vie éternelle.
    « Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. » (Rom. 6:23).

    La Bonne Nouvelle

    Cette histoire réelle commence par la mauvaise nouvelle de la rébellion du 1er homme, Adam, envers le commandement de Dieu, rébellion qui apporta la mort, tant spirituelle que physique, et à la souffrance. Nous en voyons les résultats tout autour de nous chaque jour qui passe. Tous les descendants d’Adam, de nature pécheresse dès la conception (Ps. 51:5), ont adhéré de leur propre assentiment à cette rébellion. Ils ne peuvent donc pas se tenir devant la présence directe du Dieu infiniment saint, condamnés à la séparation d’avec Lui. La Bible dit que « tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Rom. 3:23), voués à « une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de Sa force » (2 Th. 1:9).

    Mais, Bonne Nouvelle : Dieu a réglé la question : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jn. 3:16).

    Jésus-Christ, le Créateur, bien que dénué de péché, a souffert, en lieu et place de l’humanité, la peine du péché de l’humanité, à savoir la mort et la séparation d’avec le Tout-Puissant, pour satisfaire les justes exigences de la sainteté et de la justice de Dieu, Son Père. Jésus, le sacrifice parfait, est mort sur une croix mais, le 3e jour, a ressuscité et vaincu la mort, de sorte que tous ceux qui croient en Lui, se repentent de leur péché, et mettent leur confiance en Lui (plutôt qu’en leur propre mérite), reviendront enfin à Dieu et vivront pour l’éternité avec leur Créateur bien-aimé.

    Par conséquent : « Celui qui croit en Lui n’est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu » (Jn. 3:18).

    Quel merveilleux Sauveur, et quel merveilleux salut dans le Christ, notre Créateur cool !

    1. Ussher, J., « The Annals of the World », p. 18. Revenir au texte.
    2. Rehwinkel, A., « The Flood: In the Light of the Bible, Geology and Archaeology », 17e édition, pp. 169–171.Revenir au texte.
    3. Urquhart, J., in « Bible League Quarterly », octobre–décembre 1931, pp. 181–183. Revenir au texte.
    « Datation radiométrique, appendice APoussé par Satan ou par Dieu ? »

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