• La véritable histoire des dinosaures, épisode 8

    Des dinosaures et des hommes

    Une idée absurde ?

    On retrouve des légendes de dragons dans beaucoup de cultures du monde.

    • Il y a la légende anglaise de St George qui tue le dragon :
    • Il y a l’épopée irlandaise de Beowulf qui tue le dragon Grendel et sa mère :
    • Il y a la saga scandinave de l’Anneau des Nibelungen, où Sigurdr tue le dragon Fafnir :
    • Il y a la légende de la tarasque, qui a donné son nom à la ville de Tarascon. Ça ne fait tiquer personne qu’une créature censément légendaire ait donné son nom à une ville réelle wink2 ?
    • Il y a l’épopée de Gilgamesh, où il tue le dragon Humbaba.
    • Il y a le mythe cosmogonique de Bel qui tue Tiamat.
    • Il y a les légendes du kulta et du bunyip chez les aborigènes.
    • Il y a le mythe japonais de Susanoo qui affronte le serpent de Yamata
    • Et je ne vous parle même pas de la mythologie chinoise. D’ailleurs, à ce sujet, ça ne vous interpelle pas que tous les animaux du zodiaque chinois soient réels à part le dragon, supposément imaginaire wink2 ?

    Les dragons décrits dans ces légendes viennent de cultures et de peuples divers et variés mais ont des caractéristiques similaires : d’immenses lézards au cuir épais, avec des écailles (et accessoirement des ailes membraneuses), dont certains crachent le feu, avec des crocs et des griffes acérés, et dont les membres postérieurs ont souvent 3 doigts (comme les dinosaures théropodes). Plusieurs écrivains du passé, dont l’historien grec Hérodote, le philosophe Apollonius de Tyane, Marco Polo ou Jean Damascène, ont décrit ces animaux dits imaginaires en détail. Et devinez quoi ? Ces descriptions ressemblent de manière frappante aux reconstitutions que l’on peut voir dans les musées.

    Vous demandez-vous ce que l’on en a à fiche des mythes et des légendes ? Certes, les légendes contiennent toujours une bonne dose d’éléments mythiques (comme dirait M. de La Palice winktongue), mais ça ne veut pas dire qu’elles ne comportent que des âneries. Bien souvent, à la base, des évènements réels ont été grossis pour donner les légendes telles que nous les connaissons aujourd’hui. Le téléphone arabe, quoi smile. Celles de la Table Ronde ont vu le jour ainsi.

    Le calmar géant

    Pendant longtemps, il a conservé le statut de légende, en dépit de morceaux de l’animal retrouvés dans les estomacs de cachalots ou de longues éraflures sur le corps de ceux-ci. Les grecs le nommaient Arkhitéuthis. Herman Melville, dans son célèbre roman de 1851, « Moby Dick », décrit un duel à mort entre un cachalot et un calmar géant. Alfred, Lord Tennyson parle d’un monstre marin avec des « bras géants » dans son poème intitulé « Le Kraken », et Pierre Arronax, le naturaliste de « 20 000 lieues sous les mers », exprime son dégoût à la vue d’une « immense seiche » qui nage près du Nautilus.

    Nous savons désormais qu’il existe vraiment, parce que des pécheurs en ont attrapé dans leur chalut, et que des spécimens se sont échoués sur le rivage.


    Ce céphalopode-ci a été capturé par les pécheurs du San Aspiring dans la mer de Ross. Il fait 6 m de long avec les tentacules, et doit en faire 12 à l’âge adulte.

    Il se dit que certains feraient plus de 20 m de long pour 900 kg.

    Cette exemple illustre de manière frappante le fait que ce n’est pas parce que quelque chose diffère de notre expérience de tous les jours que ça en fait un mythe. S’il fallait suivre ce raisonnement-là, alors les miracles de Jésus sont bidon et la neige n’existe pas puisque les Malgaches du fin fond de la brousse n’en ont jamais vu arf !

    Le çœlacanthe

    On a longtemps cru que ce poiscaille avait disparu depuis quelque 360 millions d’années, jusqu’à ce qu’un spécimen vivant fût péché dans les eaux de l’estuaire de la rivière Chalumna en Afrique du Sud, en 1938, semblable en tous points à ce qu’il aurait été il y a 360 000 000 d’années de cela smile.
    Un véritable casse-tête pour les évolutionnistes : comment a-t-il pu rester inchangé pendant 360 000 000 d’années alors que dans le même laps de temps, des amphibiens se transformaient en Aristote, en Blaise Pascal et en Albert Einstein oh ??? Les évolutionnistes les plus honnêtes se gardent bien de postuler que leur milieu n’a pas changé pendant tout ce temps, ils se rendent bien compte que dans leur propre vision du monde, la Terre entière a changé de fond en comble dans toute cette période.
    Cette espèce de çœlacanthe a pour nom scientifique Latimeria Chalumnæ, en l’honneur de la naturaliste Marjorie Courtenay-Latimer. Par contre, on ne sait rien du ou des pêcheur(s) qui l’a ou l’ont attrapé no... Encore un exemple qui démontre qu’il ne faut pas s’empresser d’avaler le laïus des évolutionnistes comme quoi les dinosaures se sont éteints il y a des dizaines de millions d’années wink2.

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  • Commentaires

    1
    Mehdi
    Jeudi 10 Mars 2016 à 03:21

    Par contre celui-là (cœlacanthe) risque bien de s’éteindre vu qu'il est en voie d'extinction arf

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