• L'enfer

    L’enfer

    Pourquoi un Dieu d’amour enverrait-il Ses créatures en enfer ? Question qui a fait couler pas mal d’encre (et de pixels). Les incroyants crient à la supposée injustice d’un Dieu Qui jugerait le péché, voire enverrait les pécheurs en un lieu de châtiment éternel. Allez savoir par quelle autorité ils se permettent de juger un Dieu en Lequel ils affirment ne pas croire, se privant ainsi de tout critère objectif pour définir la justice et l’injustice wink2. Cependant, les croyants aussi se demandent souvent si Dieu est juste d’envoyer en enfer ceux qui n’ont jamais entendu parler de Jésus Christ.

    Que ce soit bien clair entre nous, je n’écris pas ceci de gaieté de cœur. Personne n’aime attarder sa pensée sur un lieu de tourment éternel. Toutefois, pour qu’il y ait une Bonne Nouvelle, il en faut bien une mauvaise, en l’occurrence que Jésus Christ nous sauve d’une chose si horrible que ce salut apporte une gloire incommensurable à Dieu.

    Qui va en enfer ?

    Les incroyants susmentionnés parlent de l’enfer comme d’un endroit peuplé de gens innocents (comme eux, je suppose no). Toutefois, la Bible ne dit nulle part que les innocents passeront une seule seconde en enfer. Au contraire, celui-ci représente la réponse de Dieu à l’injustice fondamentale de la vie. Nombre d’assassins, de violeurs et autres gangsters ne subissent pas de jugement dans leur vie (ce fut le cas de Franco et d’Esterhazy). Chacun sait que ce serait injuste et mauvais s’ils ne doivent jamais rendre compte de leurs actes, quelque chose dans le cœur humain exige justice.
    Les incroyants en question, ainsi que mille et un chrétiens du dimanche, se disent qu’ils ne sont pas méchants au point de mériter l’enfer, qu’ils ne sont pas comparables à Hitler, Staline, Mao, Pol Pot ou Gilles de Rais. Mais la parole de Dieu nous informe de ceci : « Il n’y a point de juste, pas même un seul ; nul n’est intelligent, nul ne cherche Dieu ; tous sont égarés, tous sont pervertis ; il n’en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul » (Rom. 3:10-12). Après tout, tout le monde a des griefs envers tout le monde. Si quelqu’un vous avait volé, trompé ou fait du mal, vous exigeriez justice, de par votre sens du bien et du mal qui est en vous – et à ce moment, vous donnez votre accord implicite au concept d’enfer. Dieu aussi, lorsque nous Lui faisons des crasses (en d’autres termes, quand nous péchons), Il exige justice, comme nous à notre manière imparfaite.

    Le péché : une rébellion envers notre Créateur plein d’amour

    Le monde que Dieu avait créé au départ pour les humains était parfait. Nous ne pouvons imaginer aujourd’hui la vie dans un endroit sûr et idyllique où l’être humain peut obtenir tout ce dont il a besoin, en 1er lieu une relation privilégiée avec son Créateur qui aurait duré pour l’éternité tant qu’il obéissait à quelques commandements simples (cultiver le jardin, avoir des enfants, ne pas manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal).

    Mais ils désobéirent au 3e, et le péché brisa sur-le-champ leur relation parfaite avec Dieu. Adam et Ève savaient d’ailleurs qu’ils avaient mal agi et ils en avaient honte.

    Dieu, leur Créateur, étant saint, c.-à-d. complètement distinct et séparé de tout péché, Il avait parfaitement le droit (voire le devoir, de par Sa justice et Sa sainteté parfaites) de juger leur rébellion en conséquence. Il aurait pu prononcer la peine de mort recta en toute justice. Mais comme Son amour et Sa miséricorde aussi sont parfaites, Il n’a pas mis fin à la race humaine ; Il avait su dans Son omniscience ce qui allait arriver, Il avait déjà un plan pour racheter l’humanité. Adam et Ève subirent la mort spirituelle, c.-à-d. la rupture de leur relation parfaite avec Dieu, mais Ils continueraient à vivre et auraient des enfants qui hériteraient de leur penchant pour le péché.

    Dieu, plutôt que de laisser Adam et Ève se contenter des feuilles de figuier dont ils avaient tissé des vêtements de fortune, indécents, leur fit des vêtements de peaux d’animaux. Il s’agit là de la 1ère mort physique, et le sacrifice d’animaux innocents pour la couverture des péchés (de la même manière que les vêtements de peau ont couvert la nudité de nos ancêtres primordiaux) et la rétention de la colère de Dieu devait continuer pendant des milliers d’années.

    Dieu ne voulant pas laisser l’humanité périr (cf. 2 Pi. 3:9), Il a promis à Ève qu’Un de ses descendants vaincrait Satan (Gen. 3:15). On appelle cela le « protévangile », la 1ère allusion à l’œuvre du salut dans la Bible. Le reste de l’Ancien Testament peut se caractériser comme la manière dont Dieu traite le péché, soit par châtiment directe, soit en accordant un sursis dans Sa grande miséricorde. Il nous décrit aussi la manière dont Il a préparé l’arrivée du descendant d’Ève promis.
    « Adam, âgé de cent trente ans, engendra un fils à sa ressemblance, selon son image » (Gen. 5:3) : ce verset ne nous laisse aucun doute : la nature pécheresse d’Adam est héréditaire.

    Qu’est-ce que le péché ?

    Pour faire simple, c’est tout ce qui va à l’encontre des critères parfaits d’un Dieu parfait et saint. Il peut s’agir de quelque action mauvaise que nous faisons ou quelque action bonne que nous ne faisons pas. Dieu détermine ces critères en tant que Créateur, et ils ne sont pas arbitraires, mais prennent leur source dans Sa nature. Aux yeux de Dieu, qui vole un œuf vole un bœuf : tout péché représente une offense envers Dieu puisqu’Il est saint.

    Qui plus est, les humains ont une nature pécheresse, un penchant envers le péché. Nous ne pécherons pas toujours à chaque opportunité, ni dans la plus grande mesure possible, mais tout le monde finira par pécher une fois l’opportunité donnée. En fait, la lutte contre la tendance humaine à faire des choses dont nous n’avons pas envie parce que nous les savons mauvaises (la lutte contre la chair) nous rappelle en permanence notre imperfection crasse, que nous sommes des pécheurs-nés, d’où notre besoin impératif d’un Sauveur.

    À quoi servait l’arbre de la connaissance du bien et du mal ?

    Ceux qui pensent que rien de tout cela ne serait arrivé si Dieu ne l’avait pas planté en Éden comprennent bien mal sa fonction. Cultiver le jardin d’Éden allait de soi : la Terre était encore facile à travailler, et nos ancêtres primordiaux auraient eu du mal à se nourrir sans cela. Idem pour ce qui est de remplir la Terre : la solitude est pesante et délétère (Gen. 2:18), tandis que l’union conjugale et la famille sont des merveilles. Par contre, ne pas toucher à un fruit ne semble pas justifié à 1ère vue, et c’est là que se trouve la raison pleine d’amour qui a poussé Dieu à planter l’arbre de la connaissance du bien et du mal en Éden.

    Dieu voulait que les humains L’aimassent pour ce qu’Il était, pas pour ce qu’Il leur donnait. L’arbre était là pour donner à l’homme l’opportunité de faire preuve de fidélité envers Dieu ou de se rebeller contre Lui, et Adam et Ève ont choisi la 2de option.

    Mais gloire à Dieu : dans Sa miséricorde, Il nous a donnés une 2de occasion de faire ce choix en Jésus Christ.

    Jésus ou l’incarnation de l’Amour de Dieu

    Jésus Christ, 100% homme et 100% Dieu, parent de tous les hommes de par sa descendance d’Adam et Ève, ayant vécu une vie parfaite par une obéissance sans faille à la Loi de Dieu toute Sa vie, était l’accomplissement de la promesse de Dieu : dans És. 59:20, Rédempteur traduit l’hébreu « gô‘el », qui désigne aussi le vengeur du sang (De. 19:12 ; cf. Gen. 9:6) ou le membre de la famille qui a le droit de racheter la terre d’un parent (Lév. 25:25). En d’autres termes, le Rédempteur devait avoir un lien biologique de parenté avec l’humanité.

    Comprenons-le bien : il s’agit du seul moyen de salut de l’humanité. Nous aurons beau nous efforcer de faire le bien, nous ne pouvons pas nous sauver nous-mêmes, inutile de chercher ailleurs une religion, une de philosophie ou un dieu qui puisse nous sauver. Si Jésus ne S’était pas laissé crucifier, et s’Il n’avait pas ressuscité le 3jour, nous n’aurions aucun espoir frown.

    Quand une personne se repent de son péché et prête allégeance à Jésus Christ, Dieu accepte Son sacrifice comme paiement pour ses péchés (És. 53:6) et met à son crédit la justice de Celui-Ci (2 Cor. 5:21). Cela l’amène à une juste relation avec Dieu, au sens légal du terme : son casier est « raviergé » (cela s’appelle la justification). Qui plus est, le Saint Esprit fait Sa demeure en la personne et entame le processus qui va la rendre effectivement juste (cela a pour nom la sanctification). De plus, la personne dispose de tout un tas de privilèges qui viennent avec son adoption par Dieu.

    Les rebelles à leur Créateur plein d’amour


    Oscar Fingal O’Flahertie Wills Wilde (16/10/1854–30/11/1900)

    Nous sommes donc rien moins que blancs comme neige devant Dieu, car non seulement nous avons cette nature pécheresse en nous, mais en plus nous coopérons avec, et en fait, nous aimons ça. Cet aphorisme d’Oscar Wilde l’illustre bien : « Le meilleur moyen de se débarrasser d’une tentation, c’est d’y succomber. » Nous sommes donc responsables de nos péchés. Nous méritons tous d’aller en enfer, mais Dieu nous a fourni une issue de secours : ceux qui se repentent et acceptent Jésus Christ comme Seigneur et Sauveur échappent au jugement, car le sacrifice de Jésus Christ a payé leur caution. Nous n’avons  à ce paiement aucun mérite (Rom. 5:6, 8) ni aucune part (Jn. 6:44).

    Michel Onfray (1/1/1959–) Philip Pullman (19/10/1946–)

    Très nombreux, hélas, les irrepentis. Il y a ceux qui n’ont jamais entendu l’Évangile, il y a aussi (et surtout) ceux qui l’ont rejeté pour telles ou telles raisons (souvent du dernier ridicule sarcastic). Il y a aussi ceux qui descendent dans une haine consciente et ardente de Dieu, comme Michel Onfray, chantre de l’hédonisme français, acclamé sur le plateau d’« On n’est pas couchés » sarcastic, ou Philip Pullman, l’auteur de la trilogie « À la croisée des mondes » (une saga de heroic fantasy conçue exprès comme une antithèse des « Chroniques de Narnia ») ; ils Le reconnaissent et L’abominent, comme Satan et sa clique. Et ils conspuent Dieu d’avoir créé l’enfer alors qu’ils ont choisi cette destination eux-mêmes sarcastic

    Si le sacrifice de Jésus est la seule voie de salut et que quelqu’un la rejette, il va de soi qu’il ne reste que la condamnation pour lui. Nul ne peut avoir envie d’être avec Dieu sans Son intervention (Jn. 6:44, 65), alors une personne non-régénérée n’aura pas plus envie de se trouver en Sa présence directe au paradis que moi d’assister à un spectacle de Kev Adams pour l’éternité.

    L’enfer : un endroit dédié à ceux qui rejettent le Dieu d’amour

    Pour des gens qui aiment autant Dieu que nous, Il est difficile de concevoir qu’il existe des gens qui détestent Dieu au moins dans la même mesure, mais ça existe. Celui qui s’aviserait d’évangéliser sur un groupe internet d’athées ou de païens risquerait de recevoir la volée d’insultes de sa vie. Si Dieu se montrait à eux, ils ne se repentiraient absolument pas, oh que non noIls lui montreraient le majeur de plus belle et se damneraient pour l’éternité.

    De même que le chrétien qui trépasse se retrouve enfin sanctifié dans son entier par l’Esprit Saint, il arrive la chose inverse à l’incroyant qui meurt. Il a choisi de renier le Christ dans la vie et n’aura plus jamais l’occasion de se repentir puisque le Saint Esprit ne touche pas les damnés. Jésus nous a prévenu que certains ne croiraient pas même s’Il se relevait des morts (Lc. 16:31). L’incroyant ne peut entrer au Paradis car il incarne tout ce qui ne peut en aucun cas entrer au Paradis, et d’ailleurs, s’il se retrouvait dans la présence de Dieu, le pire supplice chinois serait de la gnognotte à côté (un peu comme moi si je devais assister à un concert de Justin Bieber ou Matt Pokora pour l’éternité happy). Il aura perdu toute capacité de voir en Dieu autre chose que Quelqu’Un de terrifiant et de détestable. Il haïra Dieu pour toujours.

    Au final, l’enfer correspond à ce qu’ils auront désiré toute leur vie : un endroit aussi loin de Sa présence que faire se peut (2 Th. 1:9). Bien sûr, cela signifie aussi qu’aucune des grâces et des bénédictions que Dieu accorde même aux incroyants en cette vie (la grâce commune, cf. Mt. 5:45) ne s’y trouve.

    Et ceux qui n’ont jamais entendu l’Évangile alors ?

    On se demande souvent pourquoi Dieu enverrait quelqu’un qui n’a jamais eu la chance d’entendre l’Évangile en enfer, mais ce point de vue impliquerait que les humains se trouveraient dans un état moral neutre et qu’ils choisiraient d’être pour ou contre lorsqu’ils entendent l’Évangile. Ce n’est pas le cas : tout le monde se tient en état de rébellion envers Dieu par défaut, et seule l’opération du Saint Esprit peut changer cela. Les gens qui n’ont jamais entendu l’Évangile sont donc rebelles envers Dieu, ils seront jugés par rapport à la révélation de Dieu et de Sa Loi que l’on retrouve dans la nature. D’après Rom. 1:18-28, certaines vérités fondamentales sur Dieu sont évidentes dans la Création, si bien que les gens n’ont aucune excuse. Rom. 2:14-16 nous apprend que les gens ont une conscience (qui vient nécessairement de Dieu) mais qu’ils ne sont même pas fichus de respecter ce que celle-ci leur révèle de la loi divine.

    En fait, l’existence de gens qui n’ont jamais entendu l’Évangile, plutôt qu’à perdre notre temps à remettre en question la justice de Dieu, devrait nous pousser à le prêcher avec toujours plus de vigueur et d’empressement : « Faire mourir le juste avec le méchant, en sorte qu’il en soit du juste comme du méchant, loin de Toi cette manière d’agir ! Loin de Toi ! Celui Qui juge toute la terre n’exercera-t-Il pas la justice ? » (Gen. 18:25)

    Le Dieu d’amour est devenu notre Sauveur !

    La réalité d’un jugement éternel à de quoi remettre les idées des incroyants en place, et personne n’a envie de s’y attarder. Mais les pécheurs vont en enfer pour avoir enfreint la loi divine, aussi implacable que celle de la gravité quand elle cause la mort du petit malin qui fait du saut à l’élastique sans élastique. Alors si un être rebelle et entêté choisit une voie destructive qui le mène en enfer à terme, Dieu n’est pas à blâmer. En fait, nous méritons tous l’enfer de par nos péchés, qui nous séparent de Dieu, mais gloire à Lui pour notre grand Dieu et Sauveur Jésus Christ ! Amen !

    Bonne nouvelle : si vous lisez cet article, alors vous êtes toujours en vie, et si vous n’avez pas encore accepté le Seigneur Jésus Christ dans votre vie, il est encore temps d’échapper au terrible destin qui attend les rebelles envers leur Créateur ; si vous l’avez déjà fait, profitez du temps qu’il vous reste (Éph. 5:16 ; Co. 4:5) pour faire passer le message (de l’Évangile) à votre prochain comme si sa vie en dépendait (ce qui est le cas).
    Si vous vous estimez quelqu’un de bien, qui s’efforce d’être la meilleure personne possible et qui n’a donc pas besoin que l’on la sauve, vous devriez pouvoir répondre avec aisance à ces questions simples :
    Avez-vous jamais volé (Ex. 20:15 ; De. 5:19) ?
    Avez-vous jamais menti (Ex. 20:16
     ; De. 5:20) ?
    Avez-vous jamais manqué de respect à vos parents (Ex. 20:12
     ; De. 5:16) ?
    Avez-vous jamais convoité le bien d’autrui (Ex. 20:17 ; De. 5:21) ?
    Avez-vous jamais blasphémé (Ex. 20:7
     ; De. 5:11) ?
    Avez-vous jamais regardé une femme mariée avec convoitise (Ex. 20:17 ; De. 5:21 ; cf. Mt. 5:27-28) ?
    Avez-vous jamais haï quelqu’un (Ex. 20:13
     ; De. 5:17 ; cf. Mt. 5:21-22) ?
    Si vous avez répondu par la négative à toutes ces questions, alors toutes mes félicitations, vous êtes un surhomme sarcastic. Sinon, c’est que vous faites preuve d’honnêteté envers vous-même : vous avez transgressé la loi du Dieu de justice, et de ce fait perdu tout droit à une éternité de joie débordante en Sa présence. Déposez les armes de la rébellion devant Jésus Christ, acceptez Sa Seigneurie absolue, mettez votre confiance en Lui pour vous sauver de la juste colère de Dieu le Père. Autrement, vous devrez répondre de votre propre chef devant le tribunal divin, et vous n’aurez pas l’ombre d’une chance. Par contre, si vous croyez, alors « nous avons un avocat auprès du Père, Jésus Christ le juste » (1 Jn. 2:1).

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  • Commentaires

    1
    capucine
    Mardi 6 Novembre 2018 à 13:49

    narindra,super!!

    question:Franco s'est repenti?

    petite suggestion:"et ce sont eux qui se plaignent comme quoi Dieu etc.."ne me semble pas correct mais je peux me tromper...c'est mon oreille qui le dit...

      • Mardi 6 Novembre 2018 à 18:30

        Merci de ton commentaire et tes encouragements, Capucine smile

        Je n'ai jamais entendu dire que Franco se soit repenti de quelque manière que ce soit (contrairement à Napoléon dont on sait qu'il est revenu à des sentiments plus chrétiens à Sainte-Hélène). En l'absence de preuve du contraire, partons donc du principe qu'il ne s'est pas repenti jusqu'à la fin ^^

        Ma tournure de phrase me semble correct mais si tu en as une meilleure, je suis preneur yes

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